Rhum vieux Compagnie des Indes Boulet de canon n°13

Découvrir le rhum vieux Compagnie des Indes boulet de Canon n° 13

La gamme limitée « Boulet de canon » de la Compagnie des Indes incarne une aventure sensorielle unique, évoquant les scènes dramatiques d’abordages de galions et de batailles navales, où l’odeur pénétrante de la poudre à canon se mêle à l’air marin.

Ce concept audacieux vise à présenter des rhums aux arômes fumés, rappelant cet aspect fascinant de l’histoire maritime et de la piraterie.

L’embouteilleur français Compagnie des Indes, fondé par Florent Beuchet en 2014, s’inscrit dans cette quête d’authenticité et d’exploration. Après des études en vins et spiritueux et une expérience significative aux États-Unis, Florent Beuchet est inspiré par l’histoire des Compagnies des Indes Orientales du XVIIème et XVIIIème siècle pour lancer sa propre marque.

Il sélectionne des rhums d’exception lors de ses voyages principalement dans la Caraïbe et en Amérique Centrale. Le rhum vieux Compagnie des Indes boulet de Canon n° 13 est un parfait exemple de cette philosophie. Cet assemblage, vieilli entre 3 et 5 ans, est ensuite affiné dans des fûts de whisky tourbé. Le processus de fumage au foin, après une macération de 48 heures, confère à ce rhum des notes sensorielles envoûtantes. 

Chaque gorgée de ce rhum vous transporte dans un voyage, où les saveurs riches et fumées se mêlent à l’imaginaire des océans et des épopées maritimes.

Les notes de dégustation du rhum vieux Compagnie des Indes boulet de Canon n° 13

Initialement léger, le nez s’ouvre sur des notes de paille et de foin frais, humides, évoquant une certaine fraîcheur végétale. Peu à peu, vous humez des arômes fruités et épicés, rappelant une téquila artisanale. Lors de l’aération, le profil se complexifie avec des notes de tabac, de cendre, et de végétaux résineux légèrement brûlés.

En bouche, le rhum offre une gourmandise singulière, un assemblage de végétaux fumés, doux et caramélisés. On y perçoit des nuances de canne toastée, de sucre cuit, de mélasse, et une surprenante tourbe. Le foin fumé renforce le caractère herbacé de la canne à sucre, tout en se mêlant harmonieusement à la tourbe, dont on oublie presque le côté cendré.

La finale, légère et équilibrée, s’éloigne de la tourbe dominante pour laisser la place aux saveurs douces et complexes de la canne.